Depuis mars dernier, la crise du coronavirus nous en fait vivre des vertes et des pas mûres. Assoiffés d’idéal, grevé de méthodologie et d’automatismes, nos gouvernements et médias ne cessent de peindre le diable sur la muraille et démultiplier les (dé)mesures, les erreurs, les dénis. Non sans ratatiner nos esprits, pervertir nos relations, déraciner nos…