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Je n’ai pas peur des Américains,
Ni des cons, ni des politiciens,
Mais j’ai peur de t’attraper la main
Et que tu me m’esquives encore
Je ne sais pas si cet amour est fort
Ou s’il ressemble à la chasse au trésor
Si t’en veux pas sache que je le déplore
Et que je m’excuse encore
Je n’ai pas peur de la mort
Mais que tu m’évites encore
Je te préviens matador
Qu’un jour je t’aurai alors
On a vu des taureaux aimer les toreros
On a vu des taureaux aimer les toreros
Je n’ai pas peur des ordinateurs
Ni des virus exterminateurs
J’ai défoncé tellement de gladiateurs
Qu’ils ont disparu alors
J’aimerais bien t’emmener sur le port
Te refaire le coup du conquistador
J’ai peur que tu joues les toréadors
Et que tu m’esquives encore
Je n’ai pas peur de la mort
Mais que tu m’évites encore
Je te préviens matador
Qu’un jour je t’aurai alors
On a vu des taureaux aimer les toreros
On a vu des taureaux aimer les toreros
Clip :
C’est marrant, ça me parle mais je ne sais quoi dire et comment… Les allusions à la corrida, transposées dans la vie réelle, ça me fait penser à nous-mêmes: ne sommes-nous pas comme ce type, toujours à courir et foncer contre des chimères?