VOUS L’EXPÉRIMENTEZ TOUS LES JOURS – et vous l’avez sûrement déjà entendu quelque part : nous vivons une époque for-mi-dable !
Oui, pour autant qu’on ait un peu d’argent, et de surcroît un peu de temps, on peut faire à peu près ce qu’on veut : se divertir, communiquer, s’informer, consommer, sortir, en un mot… VIVRE !
Grâce au progrès de la science et de la technique, presque tout nous devient accessible. Et en plus quasi sans effort ! Et en plus pour pas cher souvent !
Ça ne fait pas de doute : nous vivons une époque for-mi-dable !
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Epoque formidable, à vrai dire au double sens du mot latin formidabilis qui, avant de signifier « fantastique, fabuleux, magnifique, prodigieux, monstre bien, etc. », signifie d’abord « terrible, de nature à inspirer la peur, et même la terreur »…
Oui, ça aussi, vous l’expérimentez tous les jours, pour autant que vous refusiez de vous voiler la face : les choses ne tournent pas aussi rond qu’on veut bien le dire…
Eh bien, vous le savez : PHUSIS s’adresse justement à ceux qui, parfois, manquent d’air. A ceux que les plaisirs et devoirs calibrés ont tendance à étouffer. A ceux qui souffrent de voir les gens menés par le bout du nez…
Oui, PHUSIS essaie de faire signe à ceux qui aiment grimper aux arbres. Qui aiment la pluie sans parapluie. Que les pannes de courant font rire. Qui ont soif d’horizons et d’imaginaire.
Tout ça pour libérer de nouvelles et aussi en même temps très anciennes possibilités d’existence au sein de notre drôle de monde – qui n’est souvent pas si drôle qu’il en a l’air.
Et, pour ce faire, nous en sommes désormais convaincus, tous les moyens sont bons, sérieux et moins sérieux, y compris celui des… chroniques phusiques.
Bref vous l’avez compris : PHUSIS célèbre le retour des chroniques phusiques sur phusis.ch.
Chaque jeudi, à midi, vous trouverez – sur ce qui deviendra d’autant plus votre site préféré –, un événement, un sujet, un objet, un concept ou je ne sais quoi encore mis dans une perspective… phusique.
Qu’on se le dise : rendez-vous tous les jeudis à midi.
En plus de tous les autres jours, bien évidemment.
Pour que vive la phusis !