
Tristesse, quand tu nous prends…
HIER, BBOUL A TOUT À COUP ÉTÉ TRISTE. Tout à coup, la tristesse lui est tombé dessus. Comme ça, tout à coup, apparemment sans raison.
RÉGULIÈREMENT, NOUS PROPOSONS ICI DES CHRONIQUES PHUSIQUES : un billet, une intervention, un coup de gueule. Sur n’importe quel sujet, actuel et inactuel à la fois. Quelque chose nous choque, nous parle, nous fait rire, nous fait penser ? Hop, hop hop : nous prenons la plume.
Si nous ne sommes pas inspirés, ou pris par trop d’autres choses, il nous arrive aussi de citer quelqu’un qui. Quelqu’un qui, comme nous, est à l’écoute des forces artistiques qui le traversent…
Quelques minutes pour faire entendre un autre son de cloches que celui qui nous casse les oreilles : partager quelques « mauvaises » herbes pour percer les dalles de béton.
HIER, BBOUL A TOUT À COUP ÉTÉ TRISTE. Tout à coup, la tristesse lui est tombé dessus. Comme ça, tout à coup, apparemment sans raison.
L’AMOUR, C’EST APPAREMMENT TOUTE UNE HISTOIRE. Après être resté seul à la maison parce que ses parents sont sortis « en amoureux », Bboul parle d’amour avec
ON EST DANS UN CAR POSTAL. On roule depuis un bon moment. Les gens bavardent. On parle, de tout et de rien, comme on le
BONNE NOUVELLE : BBOUL ET LUDO, DEUX ENFANTS qui sont tombés par hasard sur phusis.ch, ont accepté de nous épauler dans notre tâche d’exprimer la phusis.
CHRONIQUE PHUSIQUE DE CLARIFICATION de la dernière chronique, qui a osé venir critiquer ce qui fait la fierté de l’homme occidental, à savoir son intelligence
CHRONIQUE PHUSIQUE SUR LE PHÉNOMÈNE peut-être le plus stupéfiant de la nature : l’intelligence rationnelle. Alors qu’elle a été absente de la surface de la terre