Covid-19 | Dans le cadre de la crise sanitaire, les gouvernements et journalistes se revendiquent « des spécialistes » pour prendre leurs décisions et expliquer la situation. Pour un son de cloche quasi unanime. Mais attention : un spécialiste en cache un autre. La vérité scientifique est RELATIVE. Un « Cours d’épistémologie pour les nuls » s’impose.
Alain Chamfort voit tout juste dans sa chanson : « les spécialistes ont raison », chacun à sa manière, selon ses analyses, son école, sa perspective. En dépit d’une méthodologie commune, la connaissance scientifique est le fruit de consensus entre les divers résultats des multiples travaux entrepris par quantité de spécialistes. Même si les chercheurs considèrent, par pragmatisme ou naïveté, comme vraies les découvertes auxquelles ils arrivent, la vérité scientifique n’en demeure pas moins toujours provisoire et relative.
Dangereuse vulgarisation scientifique
Croire que la science chemine vers un dévoilement progressif de la vérité du monde est une vision idéaliste passée. Elle demeure pourtant tenace dans la vulgarisation scientifique et les médias, qui occultent les nuances et précautions indispensables à la bonne compréhension des phénomènes. La culture générale traite comme des vérités incontestables les modèles qui ne font pas débat.
Vérité multiple aussi sur le Covid-19
Il n’en va pas autrement pour la crise du Covid-19. Contrairement aux apparences véhiculées par les spécialistes labellisés par les gouvernements et les médias, il n’y a pas de vérité sur la dangerosité, la viralité, la létalité, le traitement du coronavirus. Pas non plus sur les mesures à prendre pour lutter contre. Nombreux sont les spécialistes de renom mondial à ne pas partager les positions officielles.
Parmi eux par exemple les deux pointures planétaires que sont le Prof. français Didier Raoult de l’IHU Méditerranée-Infection et le Prof. américain d’épidémiologie de la Rockefeller University à New York Knut Wittkowski. Si les gouvernements et les médias les écoutaient eux, les choses seraient tout autres. Le virus n’apparaîtrait « pas plus grave qu’une grippe normale », le confinement comme une terrible erreur, ne faisant que ralentir la propagation du virus de toute manière terminée après 3-4 semaines (immunité collective) sans déborder les hôpitaux grâce au confinement des personnes à risque et au traitement hydroxychloroquine + azithromycine. Sans crainte de deuxième vague !
Et si les médias se rappelaient l’importance du débat et cessaient de confondre relativité scientifique et fake news ?!
#ObéissonsMaisOsonsPenser