Covid-19 | A quelques rares exceptions près, la pandémie de Covid n’a tué que des gens dont la santé était fragilisée par le grand-âge ou l’exposition massive aux facteurs de risques que sont : la malnutrition, la pollution, le stress et la sédentarité. L’heure est venue d’en prendre conscience et d’opérer les changements nécessaires.
La crise sanitaire que nous vivons est systémique : elle provient de nos structures de pensée binaires, idéalistes, subjectivistes et progressistes. Confrontés à la possibilité d’une réelle catastrophe, la grande majorité des spécialistes, dirigeants et médias occidentaux se sont, il y a bientôt trois mois, mis à paniquer. « Nous ne sommes pas prêts. La vague de malades va engorger les hôpitaux. Les gens mourront dans la rue. Ce sera horrible. » La technoscience, à laquelle on a tant cru, s’est avérée inapte en matière de prévision – et d’adaptation. Au point de faire prendre des mesures volontiers taxées de médiévales.
Bonne nouvelle : contrairement aux craintes, la Covid n’a, à quelques exceptions près, tué que des personnes très âgées et en très mauvaise santé, principalement en raison des quatre facteurs suivants, responsables de 80% de nos maladies (comme le relève très bien Jean-Dominique Michel dans son article du 18 mars) :
- la malnutrition
- la pollution
- le stress
- la sédentarité
Notre politique de santé doit devenir préventive
Autant d’atteintes bien connues, dont les Etats et systèmes de santé ne se sont pas assez souciés. Pour protéger la santé de la population, l’heure est venue de changer la donne. De réparatrice des dégâts qu’elle était jusqu’ici, notre politique de santé doit devenir préventive. A titre individuel, chacun peut s’engager à cultiver en lui et hors de lui la santé. A titre collectif, l’Etat doit s’engager à faire reculer les facteurs à risque partout où c’est possible.
C’est bête à dire, mais une bonne santé est la meilleure assurance contre toute forme de maladie ; et même contre la mort.
*
PHUSIS s’engage contre la peur, pour une meilleure compréhension, plus de santé et de joie ! Retrouvez tous nos articles sur le Covid-19 ici.
Lien vers les pages Facebook et Instagram de PHUSIS.ch
#OsonsPenser
#ApprenonsDesMeilleurs
#ViveLIntelligenceCollective
Newsletter PHUSIS : écrivez-nous un mail pour vous abonner !
Vos articles sont très intéressants
IL faudrait aussi que la société apprenne à appréhender la MORT différemment qu’une fin en soi .
Car se que l’on appelle VIE n’est qu’une SURVIE .
Comme l’arc-en-ciel, qui a deux extrémités et n’est qu’illusion engendrée par la vibration.
Ce n’est pas la Mort qui anormal mais la VIE.
Oui, vous avez tout à fait raison !
Nietzsche l’exprime comme suit dans le Gai savoir : « Gardons-nous de dire que la mort est opposée à la vie. Le vivant n’est qu’un genre du mort, et un genre très rare » (GS, III, §109)