La question est vertigineuse, sans réponse de l’ordre du grand salut mondial.
L’enjeu est de trouver des moyens de s’en sortir, à titre individuel, inter-individuel, collectif. Ne pas rester seul, chercher des traces, trouver des points d’appui, des compagnons de lutte, dans sa sphère familiale, son travail, ce qu’il nous reste de vie sociale, quitte à ce que ce soit sur les réseaux sociaux. Garder le lien le plus étroit possible avec les gens qui nous entourent pour réfléchir, ensemble, aux mesures, aux injonctions, aux possibilités. S’organiser, trouver des moyens de lutte, de résistance ; initier des projets pour se défendre.
Cette réflexivité et organisation collective est notre planche de salut. Elle permet de construire des lieux de partages, d’espoirs, de santé, de liberté et de vie. C’est là une tâche historique.
Oula… quelle pente savonneuse. New World Order, c’est de ça dont vous voulez parler ?
Je me souviens, quand j’étais au Portugal il y a quelques mois, de la gérante d’un bistrot qui nous avait glissé « New World Order, vous connaissez ? ». Elle nous avait expliqué que jamais de la vie elle ne serait laisserait vacciner, qu’elle ne voulait pas avoir de puces qui nous contrôlent. La fois suivante elle toussait beaucoup ; elle avait l’air un peu malade. Nous sommes retournés plusieurs fois manger dans son bistrot ; elle était somme toute fort sympathique.
Je ne crois pas que les lieux de partage aient disparu.
Honnêtement, l’issue la plus probable est qu’on se retrouve tous dans une année (ne me citez pas sur la date exacte) à boire un verre au bistrot du coin.
David, vos commentaires sont souvent hors de propos. Aussi répandu soit-il, l’art de lire et d’écrire de travers est fâcheux et dangereux.
Exemple avec notre article ci-dessus: il n’est nullement question de New World Order, ni de vaccin ou de puces qui nous contrôlent. Pas plus que de bistrots ou de séjour au Portugal. Ou encore de prévision personnelle. L’enjeu est d’interroger ce qui se passe maintenant, se demander que faire, comme s’organiser, quelle planche de salut trouver pour ne pas sombrer.
L’affaire de la philosophie (et par suite de PHUSIS) est la question de l’être, de la vérité. Nos mises en perspective se font à partir de là, en vue de gagner en compréhension, en ouverture d’esprit, en santé et en joie. L’opinion, la croyance, la probabilité, le prêche médiatique n’y a pas sa place.
Merci de nous suivre, mais retenez-vous de faire des commentaires hors de propos et remplis de biais cognitifs. Ou alors passez votre chemin. PHUSIS est un lieu de recherche, d’ouverture et de résistance aux idées reçues, au bavardage et à la bêtise.
Au temps pour moi ! J’ai vraiment lu « l’ordre du grand salut mondial » de travers.