La ruche, miroir de notre société ?
L’abeille suscite la poésie. Elle attise l’imagination. Elle fascine, un peu comme la mer, le feu, un enfant, et les infinis mystères de la vie.
Docteur en philosophie, animateur et entraîneur, Michel Herren s’engage pour accompagner, comprendre et partager les mystérieuses forces qui grondent et travaillent au fond de la vie. Près de 1000 articles sont disponibles sous les divers onglets ci-dessus.
Début 2020, dans l’urgence liée au Covid, PHUSIS Philosophie a démarré un blog en lieu et place du précédent site, plus expérimental. L’enjeu n’était plus seulement d’ouvrir les écoutilles, mais de mettre les choses en perspective, de lutter avec sensibilité et intelligence contre la peur, en direction de la maîtrise et de la joie. En 2022, le blog a été adapté en le présent site. Les articles sont progressivement partagés sur les réseaux.
Le mouvement phusique s’adresse à tous ceux qui trouvent que les choses ne tournent pas aussi rond qu’on veut bien le dire. A ceux que les vues, les partages, les plaisirs et devoirs calibrés étouffent. Ceux qui aiment l’air pur, la pensée libre, la plus sans parapluie. Qui considèrent le jeu comme quelque chose de très sérieux. Qui sont fascinés par la mystérieuse cohérence et beauté de l’univers.
PHUSIS est une expérience de la vie, un art de vivre, une herbe folle qui perce le béton.
La vie est un miroir.
A quoi donc aspirons-nous ?
Le premier que je voudrais nommer :
A s’y reconnaître !
L’abeille suscite la poésie. Elle attise l’imagination. Elle fascine, un peu comme la mer, le feu, un enfant, et les infinis mystères de la vie.
Je vous propose, lors de nos prochaines séances, de nous plonger dans le paragraphe 125 du Gai savoir (La Gaya Scienza) de Friedrich Nietzsche ; paragraphe
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Suite à son retour à sa caverne, à son mot de bienvenue et à ladite Cène, là-haut, dans les montagnes, Zarathoustra s’est mis à prêcher
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Mercredi 20 mai, nous avons eu l’occasion de donner une conférence (en allemand) sur « Nietzsche und Dionysos » devant un parterre de quelque quarante personnes dans
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Depuis que je suis tout petit mes parents m’ont emmené me promener à la montagne. J’aimais bien ça, mais très vite quelque chose a commencé
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